Tromper Mon Mari Avec Son Consentement, Sans Qu’Il Le Sache. Quelle Revanche !

- Chérie, tu as pris tes comprimés ? La finale commence dans trois quarts d’heure !
Ce soir, c’est TV foot avec les copains. J’entends mon mari qui prépare les boissons et les snacks. Je réponds mécaniquement oui à travers la porte de la chambre. J’ai l’habitude de prendre des somnifères dans ces occasions car le foot m'ennuie. Je me demande pourquoi il insiste tant pour que je les prenne aujourd’hui, c’est moi que ça dérange après tout !
La dernière fois j’ai fait des rêves torrides, d’une réalité troublante alors que je suis plutôt sage. Etait-ce la proximité de cette horde de males saturés de testostérone, déchaînés par la retransmission ? Ou plutôt un fantasme inavoué ? Ce soir j’aimerais bien que ça recommence… Au moment d’avaler mon deuxième comprimé j’hésite puis le remets dans sa boite. Avec une demi dose je serai dans un état grisant, et j’espère pouvoir contrôler mes rêves.
En enfilant un string et une vielle chemise de mon mari que je boutonne lâchement, je me regarde dans le miroir de la chambre : 41 ans, les cheveux châtains à la garçonne, la taille bien prise, le corps plein encore ferme…appétissante ! Puis la lassitude me gagne, je m’assoupis la tête remplie des images de la dernière soirée match.

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Je suis tirée de ma somnolence par la voix de mon mari :
- Entre ! Ne t’inquiète pas elle dort. Je sens des présences dans la chambre, mais je n’arrive pas à ouvrir les yeux.
- Viens, elle ne se rend compte de rien, je te le promets. Avec ce qu’on lui a fait la dernière fois, elle ne s’est même pas réveillée.
Alors ce que j’avais cru rêver était réel ? Il l’a fait ce salaud ! J’enrage. La révolte m’étouffe au souvenir des outrages que j’ai subis. Mais elle ne passe pas la barrière du somnifère.
- Approche, ne soit pas timide ! C’est la première fois que tu vois ça hein ? Maquignonne-t-il. Je sens le drap glisser au bas du lit. Je ne peux ni bouger ni parler… Que vont-ils me faire cette fois ?

Des mains hésitantes touchent mon visage, puis sous les encouragements de mon mari déboutonnent lentement ma chemise.

Avec une grande douceur elles caressent ma gorge et descendent sur mes seins qui réagissent malgré moi.
- Continue, elle apprécie ! Commente mon mari comme s’il guidait un puceau.
Je décide de ne pas lutter, je vais en profiter cette fois : Tromper mon mari avec son consentement, sans qu’il le sache. Quelle revanche !

Il continue à prodiguer ses conseils et les caresses s’enhardissent. Mes tétons sont léchés délicatement puis avalés par une bouche menue. Pour un jeune puceau il sait y faire. Il les malaxe, les aspire, darde sa langue. Je sens mon corps commencer à s’échauffer. Je pousse un gémissement et mes jambes s’écartent machinalement pour appeler la caresse. La voix de mon mari commence elle aussi à s’échauffer :
- Vas-y, c’est le moment de découvrir le sexe d’une femme !
Les doigts fins descendent sur mon ventre, s’attardent à l’intérieur de mes cuisses. Il me fait languir, le petit salaud ! Il écarte enfin mon string. Ses doigts virevoltent sur mes lèvres. Mon sexe s’ouvre. La bouche experte vient sur moi comme si elle me connaissait depuis toujours. Je me demande quel genre de compagnie mon mari est allé chercher ce soir. La bouche avide fouille, explore mes moindres recoins, retrousse mon capuchon, fait éclore mon bouton engorgé qui explose de surprise quand elle l’engloutit.
Je sens les mouvements de mon mari qui masturbe son pénis près de mon visage :
- Ca t’excite de me voir faire jouir ta femme ? demande une voix haut perchée. La bouche remonte sur mon ventre, sur ma poitrine et vient m’embrasser. Des seins s’écrasent sur les miens. Je réalise que je suis entrain de me faire baiser par une femme au moment où je viens.

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- C’est vraiment dommage qu’on ait juré de ne pas coucher ensemble, dit la garce, j’en ai vraiment envie. Ca m'a complètement excitée. Elle oriente ma bouche vers le sexe de mon mari. J’essaie de résister, mais celui-ci s’introduit sans se faire prier et commence à glisser lentement comme dans un vagin.

Je rue et essaie de le mordre mais je ne réussi qu’à le faire grogner de plaisir. Dans le même mouvement mon corps se tourne légèrement et ma main heurte une cuisse, et y reste nichée. Je sens la chaleur d’un sexe irradier ma main. Je tente des mouvements de la tête pour me dégager de mon mari, mais je n’arrive qu’à glisser sur le sexe lisse et humide. Soudain, elle empoigne ma main et se frotte dessus comme une chatte en chaleur.

-Tu ne t’en tireras pas si facilement ma garce, pensé-je. J’arrive à contrôler un peu mes doigts et réussi à en courber deux pour griffer. Dans une convulsion involontaire pour échapper à l’ maintenant bien réel que mon mari m’impose, je la pénètre brutalement. Elle sursaute, pousse un petit cri mais ne s’arrête pas. Elle est trempée et se déchaîne sur ma main. Elle guide mes doigts, les fourres pour qu’ils entrent et sortent. Je décide d’en rajouter un. Elle prend tout!
Je ne suis qu’une poupée inerte dont ils usent à leur guise pendant un moment. Finalement, le sperme de mon mari gicle dans ma bouche tandis qu’elle jouit sur ma main.

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-Tu as déjà sodomisé ta femme ? demande-t-elle lorsqu’ils ont repris leur souffle.
-Une seule fois avec mes potes, sinon elle n’a jamais voulu.
-Tu veux bien le refaire pour moi ? J’aimerais voir ça ! Moi non plus je n’ai jamais cédé de ce côté.
La garce, elle veut me faire enculer par mon mari pour mater. Je n’ai cependant plus de force pour résister, je sens vaguement qu’on me soulève comme un pantin, ma chemise et mon string s’envolent.
-Couche la sur toi ! Ordonne-t-elle. Je suis étendue sur mon mari, le dos contre son ventre. Elle relève mes genoux.
-Tiens-lui les jambes. Oui comme ça. Comme c’est beau ! Je suis comme accroupie sur le dos. Mon entrejambe lui est offerte dans une position indécente. Elle détaille mon capuchon violet, ma vulve rose et ma boutonnière foncée pour exciter mon mari.
-Je vais te la préparer ! Elle commence par me masser les fesses, puis les lèches.
La caresse est délicieuse ! Elle se rapproche de mon entrejambe.
-Je vais t’ouvrir. Tu verras ça rentrera tout seul. Panique ! Elle s’adresse à moi. Se doute-t-elle de quelque chose ? Je me contracte quand sa langue passe sur mes fronces.
-Tout doux ma belle ! Continue-t-elle de manière ambiguë. Deux doigts massent ma boutonnière, roulent l’un sur l’autre. Insensiblement, elle se détend, s’assouplit, se dilate. Je mouille presque par là.
-Je sens que tu vas aimer, dit-elle en insinuant une phalange préalablement trempée dans ma vulve, puis une autre. Elle doigte mon anus lubrifié. J’halète sous l’effraction, me débats, mais la prise de mon mari m’immobilise.
-Toi aussi ça t’excite, dit-t-elle à mon mari quand son sexe vient battre ma croupe. Attends, je vais la guider sur toi! Elle me soulève pour placer son gland à l’entée de mon orifice. Mais c’est plus gros que ses doigts et ça ne rentre pas ! Il paraît qu’il faut pousser pour que ça passe sans douleur, conseille-t-elle d’un air entendu. Me prenant à pleine main, elle m’écarte largement et accentue la pression. Il s’enfonce immédiatement de quelques centimètres.
- Ohh les fronces disparaissent ! Commente-t-elle en reprenant la poussée. C’est étrange, pas douloureux. Mais j’ai peur pour la suite alors je pousse comme elle me l’a obligeamment conseillé. Et le sexe s’empale d’un seul long mouvement !

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- Oh! Il est tout dilaté autour de toi ! Ne bouge plus ! Ma respiration s’est arrêtée. Je n’ai pas vraiment mal, mais la surprise d’être ainsi envahie me coupe le souffle. Quel sentiment de plénitude ! L’autre fois ne compte pas. C’est la première fois que je me fais enculer !
-Quelle chance tu as ma chérie, j’aimerais bien être à ta place ! Elle me fait aller et venir sur le pieu de mon mari qui accélère le mouvement. Elle le tance :
-Pas si vite, c’est sensible. Là, comme ça ! Sa rondelle s’enfonce quand tu rentres et s’accroche à toi pour te retenir quand tu sors.
Je lui ai apporté un petit cadeau. Tu crois que je peux le sortir ?
-Montre-le moi !

-Regarde, c’est un godemiché à double entrée. Je m’introduis ce côté…Ahhhhh… puis, j’attache cette ceinture autour de ma taille, et ce côté-là est pour elle.
Elle rate d’abord l’entrée de mon vagin, puis trouve le bon angle de pénétration. Le gode me crucifie. Je suis prise de fond et comble ! Un mouvement diabolique se met en branle : en me pénétrant elle m’a libérée du sexe de mon mari, mais celui-ci pousse sur mes hanches pour envahir de nouveau mes entrailles. A son tour elle sort son instrument avant de le replonger. Ce mouvement se répète à l’infini, je perds conscience. Je n’ai jamais joui comme ça !
Un orgasme d’une puissance folle m’emporte mais ils ne s’arrêtent pas. Je jouis en continu, sa bouche me bâillonne et susurre des mots doux puis salaces : -Tu es belle, ma petite salope, je t’aime… Les mains de mon mari vont de mes tétons à mon clitoris qu’il triture sans ménagement. Il faut qu’ils s’arrêtent je n’en peux plus.
Ils gémissent de plus en plus fort et finissent par mêler leur jouissance à la mienne et s’effondrent sur moi. Je suis encore remplie d’eux quand je sombre pour de bon, quel bonheur!

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Je me réveille tard le lendemain matin avec un sentiment d’accomplissement. Mon mari est déjà parti. Je me souviens de tout, je n’ai pas rêvé. Quelle nuit ! Je suis fraîche, revêtue de mon string et de ma chemise, ils m’ont lavée je ne sais comment.
Ainsi mon mari aime s’amuser. Eh bien je vais devenir coquine mois aussi. Je vais jouer avec lui, mais cette fois ce n’est pas moi qui prendrai les somnifères. Si vous avez aimez ce récit, je vous raconterai.


Pour vous faire patienter je vais vous raconter une variante de la fin que j’ai imaginée au matin.
A mon réveil j’ai commencé à me remémorer les plaisirs de la veille et ça m’a très vite excitée. Au souvenir particulier du mouvement perpétuel avec le gode dans nos deux sexes ouverts et le pénis qui m’écartelait, je commence à me masturber en fantasmant.
J’imagine qu’elle s’arrête, retire le gode de mon sexe puis me libère de mon mari qui proteste.
-Je veux la prendre aussi par là, dit-elle en défonçant ma rondelle. Elle me pilonne le cul. Mon mari bat dans le vide.
-Remets-moi dedans!
-C’est une bonne idée, ça, dit-elle d’un air gourmand qui m’inquiète. Elle essaie d’introduire le pénis et le gode dans mon cul distendu mais ça ne rentre pas. Elle va me déchirer, je pousse désespérément pour éviter ça. Mais heureusement elle change d’avis et se plaint d’une voix capricieuse :
-Ce n’est pas juste, elle a toujours tout ! Maintenant c’est mon tour d’essayer!
Elle m’encule de nouveau avec le gode inséré dans son sexe puis empoigne mon mari et le dirige vers son petit trou.
-Arrête, on avait dit qu’on ne se toucherait jamais, gémit-il.
-Ne sois pas hypocrite, maintenant ça ne fait plus une grosse différence. Oaaaaahhh !! Comme tu es gros, je pousse, hhhummm …ça y est il est passé ! Que c’est bon ! Elle continue de pousser et se plante entièrement. Elle râle, accompagnée par mon mari qui ne se plaint plus.
- Dire que je suis passée à côté de ça pendant si longtemps !
Mais la position n’est pas confortable. Elle ne peut glisser sur mon mari et me pilonner en même temps. Alors elle détache la ceinture du gode qui reste fiché en moi. Elle a maintenant deux pals sur lesquels elle se déchaîne. Oh mes amours vous me , vous me rendez folle !
Elle est en sueur, ses cheveux collent à son visage et des gouttes ruissellent sur sa gorge et ses seins qui tressautent en cadence. Des mains me triturent les tétons et le clitoris. La jouissance nous emporte. Elle sanglote en tenant des propos incohérents tandis que mon mari explose il ne sait plus très bien où.

Quant à moi, les doits fourrés partout, je jouis en imaginant cette scène, qui me donne des idées pour mes prochains jeux avec somnifères.

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